Ellerejoint son « vrai » mari aux ressources humaines. Dominique Prieur, connue en 1985 sous le pseudonyme de Sophie Turenge, a Ă©tĂ© embauchĂ©e Ă  temps partiel comme directrice des ressources humaines des Pompiers de Paris, rĂ©vĂšle Le Canard enchaĂźnĂ© dans son Ă©dition datĂ©e d’hier.Cette retraitĂ©e du service Action de la DGSE, implantĂ©e dans le 20e, rejoint ainsi son
ï»żNews Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 3,2 156 notes dont 20 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis 1937 ShanghaĂŻ est encerclĂ© par l'armĂ©e cents soldats chinois se sont retranchĂ©s dans un entrepĂŽt en plein coeur de la ville, et refusent d'abandonner la position. Commence alors le combat de leur vie, eux qui devinrent les hĂ©ros d'une nation... Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD VIVA Location dĂšs 2,99 € HD Orange Achat dĂšs 9,99 € Canal VOD Location dĂšs 2,99 € PremiereMax Location dĂšs 2,99 € HD Voir toutes les offres VODService proposĂ© par La Brigade des 800 Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 125 125 DerniĂšres news Acteurs et actrices Casting complet et Ă©quipe technique Critiques Spectateurs C'est un de ces films marquants qu'on ne peut qu'admirer car elle relate d'un Ă©vĂ©nements rĂ©el de l'invasion du Japon en Chine , mĂ©connu certainement du grand public et admirablement interprĂ©tĂ©. Beaucoup de moyens ont Ă©tĂ© mis dans ce film, les dĂ©tails ne manquent, les cadrages, la photographie et la rĂ©alisation sont excellents. Un peu brouillon parfois dans les attaques, la camĂ©ra ne sait plus oĂč donner de la lentille mais le ... Lire plus Du bon avec l'immersion, le dĂ©calage population/ soldats, l'enjeu politique, les traditions, la brutalitĂ©, les moyens et pas de moins bons par un patriotisme exacerbĂ©, des comportements et surtout la phase finale qui n'a aucun sens. !!! sans plus. TrĂšs trĂšs bon divertissement. Que les amĂ©ricains en prennent de la graine. Un Ă©norme truc boursoufflĂ© d'idĂ©e de premiĂšre catĂ©gorie. Je serais curieux de connaitre le budget, et le temps complet de production de ce pur blockbuster populaire, technologiquement et artistiquement largement Ă  niveau d'un gros Marvel dernier cri. Et surtout, si vous ne souhaitez pas gĂącher votre plaisir, ne le prenez pas pour autre chose qu'un gros ... Lire plus AgrĂ©able surprise , j'Ă©tais partie sur un prĂ©jugĂ© "film asiatique surjouĂ©" et bien je doit avouer que le 2h20 du film sont passĂ©s comme une lettre a la poste. Les chinois commencent a se faire de plus en plus de place dans le milieux c'est temp mieux ! Il faut admettre quand mĂȘme que ce type de film est a regarder en mode "pop corn" . faire abstraction des Ă©lans patriotique ect ect Je me suis mĂȘme surprise Ă  ... Lire plus 20 Critiques Spectateurs Photos 14 Photos Infos techniques NationalitĂ© Chine Distributeur The Jokers / Les Bookmakers AnnĂ©e de production 2020 Date de sortie DVD 28/04/2021 Date de sortie Blu-ray 23/06/2021 Date de sortie VOD 15/06/2021 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage - Budget - Langues Chinois Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa - Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires
Enjuillet 1937, le Japon envahit la Chine du Nord, marquant le début la seconde guerre sino-japonaise. Quelques mois plus tard, la ville de Shanghai, largement bombardée, est à genoux. Et tandis que la plupart des troupes chinoises se sont repliées à l'Ouest, le 524e régiment de la 88e division occupe l'entrepÎt Sihang, afin qu'il ne tombe pas aux mains de l'ennemi. Composé de
Guerre Au coeur de la pandĂ©mie, La Brigade des 800 avait dominĂ© le box-office mondial sous le titre The Eight Hundred, mettant une raclĂ©e aux blockbusters amĂ©ricains, paralysĂ©s par la crise. Avec dĂ©jĂ  plus de 460 millions de dollars de recette au compteur et le titre de plus gros carton de 2020, le phĂ©nomĂšne s'attaque enfin au marchĂ© français grĂące Ă  The Jokers, qui l'Ă©dite en Blu-ray et DVD le 23 juin. L'occasion de rĂ©aliser Ă  quel point il mĂ©rite son succĂšs colossal. C’était pas ma guerre À la fin de la bataille de ShanghaĂŻ 1937, Ă©pisode majeur des premiĂšres annĂ©es de la guerre sino-japonaise, plusieurs centaines de soldats chinois se retranchent dans une usine pour couvrir la retraite des troupes. La dĂ©fense de l’entrepĂŽt Sihang, aussi sanglante que dĂ©sespĂ©rĂ©e, est autant une prouesse militaire qu’un accomplissement moral et une date qui marque durablement la population. La preuve dĂšs 1938, le cinĂ©ma s’en empare, avec The Eight Hundred Heroes, rĂ©alisĂ© par Yunwei Ying. ForcĂ©ment, voir l’un des deux camps concernĂ©s reconstituer une fois de plus l’évĂšnement Ă  la sauce grand spectacle inspire la mĂ©fiance, surtout lorsqu’il s’agit d’un projet aussi gargantuesque, dont les plus de 2h30 ont Ă©tĂ© tournĂ©es exclusivement en Imax pour l’équivalent de 80 millions de dollars. Fruit d’une production immense coordonnĂ©e par les trois monstres Huayi Brothers, Tencent Pictures et Beijing Enlight Pictures, rĂ©alisĂ© par un cinĂ©aste, Guan Hu, rompu aux gros budgets Il est aussi derriĂšre Mr Six, La Brigade des 800 pouvait facilement s’engouffrer dans le patriotisme feignant, en manipulant sans vergogne la portĂ©e symbolique de son sujet. La fiertĂ© du drapeau Et si son approche grandiloquente, carrĂ©ment Ă©pique, impose un vĂ©ritable patriotisme, quitte Ă  manipuler sans pudeur la rĂ©alitĂ© historique, il n’a de cesse de la nuancer, pour la rendre bien plus stimulante. TrĂšs vite, la direction artistique sublime, toute de cendres et de sueur, laisse poindre un environnement aux frontiĂšres de la dĂ©solation, duquel une grosse poignĂ©e de personnages ne vont cesser de tenter de s’enfuir. Les dĂ©serteurs ne font pas partie du dĂ©cor, ils reprĂ©sentent Ă  eux seuls le mensonge qui peut habiter un mythe comme celui des 800, mĂ©lange de courage improbable et dĂ©sarroi profond. Une grosse partie du film retrace donc sans jugement moral leurs efforts pour Ă©chapper Ă  l’enfer, comme pour raconter le revers de la lĂ©gende, la peur oubliĂ©e. Tout le monde n'a pas la fiĂšvre du combat GrĂące Ă  cette capacitĂ© Ă  mettre chacun des soldats sur un pied d’égalitĂ©, La Brigade des 800 contredit les a priori Ă  propos des blockbusters chinois, qui prouvent ici leur capacitĂ© Ă  Ă©chapper subtilement Ă  la propagande bĂȘte que l'occident aime lui prĂȘter, et traiter leur sujet avec un sens de la mesure dans la dĂ©mesure qui Ă©chappe aux divertissements amĂ©ricains les plus idĂ©alistes. Et lorsque le long-mĂ©trage se laisse aller Ă  l’exaltation de l’hĂ©roĂŻsme pur, Ă  l’occasion d’un moment de bravoure central aussi spectaculaire que tragique, il continue Ă  examiner les conditions de ce patriotisme aveugle, plutĂŽt ultime stade d’un dĂ©sespoir profond que qualitĂ© naturelle inhĂ©rente Ă  tout Chinois qui se respecte. C’est ainsi que, malgrĂ© la palette de protagonistes qu’il passe au crible, dont aucun ne s’arroge complĂštement le titre de personnage principal, il parvient sans mal Ă  impliquer Ă©motionnellement. La Brigade des 800 traque l’humanitĂ© perdue derriĂšre les hĂ©ros
 et les lĂąches, combattant ainsi de toutes ses forces la dĂ©sincarnation qui guettait un projet aussi ambitieux, Ă  l’image du Mel Gibson de Tu ne tueras point, auquel il vole d’ailleurs le compositeur Rupert Gregson-Williams pour son trĂšs beau thĂšme principal le reste Ă©tant l’Ɠuvre de Andrew Kawczynski. Un casting souvent douĂ© pour jouer la terreur 800 Clos TrĂšs souvent dĂ©shumanisĂ©, l’ennemi japonais n’est ainsi jamais qu’une menace vaporeuse et omniprĂ©sente, une horde tenant un siĂšge impossible. Rien de bien Ă©tonnant, sachant que Guan Hu et Ge Rui assument leurs ambitions Ă©piques, pourtant contraintes par un seul et unique dĂ©cor. Rarement autant de moyens n’auront Ă©tĂ© investis dans un huis-clos, et le cinĂ©aste saute sur cette opportunitĂ© pour articuler son sens du spectacle autour d’un va et vient entre l’immense et l'intime, comme le suggĂšre l’entrepĂŽt en question, gigantesque bloc de bĂ©ton aux allures de forteresse imprenable, reconstituĂ© dans des proportions dĂ©mentielles pour le tournage, pensĂ© lors des deux ans et demi de prĂ©paration du long-mĂ©trage. Le budget figurant n'est pas Ă  nĂ©gliger non plus La camĂ©ra se dĂ©place avec agilitĂ© entre les soldats, reflĂ©tant leurs peurs, leurs espoirs et leurs faiblesses avant de prendre de la hauteur, et se montrer capable de cadrer toute entiĂšre la vastitude du get-apens. Cette maĂźtrise Ă©vidente d’un dĂ©cor arpentĂ© en long, en large et en travers pendant plus de 2 heures et demi a beau laisser s’infiltrer quelques poncifs du cinĂ©ma de guerre trop attendus, tel ce cheval de guerre faisant office de fil rouge un peu maladroit, elle accorde au spectateur une certaine omniscience que seul un film pareil pouvait prodiguer. Alors certes, le rythme semble parfois s’étioler quelque peu, surtout lors de la fin du deuxiĂšme acte, et il faut s’accrocher pour se prĂ©occuper du destin des dizaines de personnages prĂ©sentĂ©s. Mais l’expĂ©rience globale reste rĂ©solument unique, tant la rĂ©alisation parvient Ă  rendre compte de la situation d’hommes coincĂ©s dans un piĂšge trop grand pour eux, soit le propre du cinĂ©ma de guerre. Born to kill Et c’est jonglant ainsi entre les Ă©chelles, entre le personnel et le martial, que le long-mĂ©trage crĂ©e un sentiment Ă©pique grisant. La composition par moment presque picturale de certains plans, le sound design pointu et une violence jamais Ă©touffĂ©e achĂšvent de faire des affrontements les instants ou l’ampleur hallucinante de la bataille rattrape la simple humanitĂ© des pauvres hĂšres engagĂ©s en son sein, un fracas perpĂ©tuel auquel vient s’ajouter une bande originale grandiose, sans conteste la plus enflammĂ©e de l’annĂ©e 2020, alternant elle aussi entre brutalitĂ© tonitruante, rĂ©pit salvateur et envolĂ©es fiĂšres. Qu’on goĂ»te ou pas Ă  la relativisation du patriotisme inhĂ©rent Ă  la proposition, force est de constater que Guan Hu sait l’utiliser pour complĂštement transcender son sujet et transformer une dĂ©fense militaire en champ du cygne guerrier. Son sens de la dĂ©mesure est tel qu’il parvient Ă  faire du climax, sur le papier anti-spectaculaire au possible, une course vers la libertĂ© Ă©reintante. Une course mise en scĂšne avec brio The Last Stand Épique puisqu’intelligent, intelligent puisqu’épique, La Brigade des 800 ne prend pas seulement en compte la promiscuitĂ© du dernier refuge de l’armĂ©e chinoise, mais aussi la configuration globale de la bataille, dont l’aspect atypique va trĂšs vite confiner Ă  l’absurditĂ©. D’un cĂŽtĂ©, le no man’s land contrĂŽlĂ© par les Japonais, enfer terrible, de l’autre, les concessions Ă©trangĂšres, protĂ©gĂ©es du feu de la guerre par leur statut, aux premiĂšres loges du sacrifice des soldats. Une situation assez ubuesque, et d’autant plus cruelle, puisque les soldats condamnĂ©s peuvent admirer la vie civile, bien loin de leurs tracas. C’est Ă©galement l’occasion d’organiser une mise en abĂźme du regard sur la guerre, car plusieurs citoyens et observateurs internationaux planquĂ©s Ă  l’abri des bombes sont Ă©galement suivis par la camĂ©ra de Guan Hu, commentant presque en mĂȘme temps que nous le drame qui se dĂ©roule devant leurs yeux. L'Ă©rection d'un symbole en direct Le film organise une triade d’espaces dont il se plait Ă  marquer les diffĂ©rences, grĂące notamment Ă  la photographie sublime de Yu Cao, opposant la crasse grisĂątre des soldats Ă  la vie quotidienne plus colorĂ©e des habitants. Pour rester sur une rĂ©fĂ©rence occidentale, un tel sens de l'espace, trĂšs esthĂ©tisĂ©, fait beaucoup penser au Dunkerque de Christopher Nolan. Soit un film de guerre gĂ©rant ses diffĂ©rentes strates d’action avec une perspective presque expĂ©rimentale. Comme les plus grands spĂ©cimens du genre, La Brigade des 800 dĂ©peint surtout l’absurditĂ© cynique des conflits, dans lesquels un enfer de balles et de souffrance peut cĂŽtoyer un parterre de curieux symbolisant toute la puissance aristocratique derriĂšre les agents de terrain, les grands hommes derriĂšre les troufions parĂ©s Ă  se faire dĂ©cimer. De l'autre cĂŽtĂ© du miroir Comme dans le long-mĂ©trage de Nolan, tout se joue sur cette fine frontiĂšre, figurant Ă  elle seule la folie humaine et la violence symbolique qu’elle peut engendrer. Car le film met finalement bien moins en scĂšne les avancĂ©es concrĂštes de cette poche de rĂ©sistance que ce jeu pervers des dĂ©marcations, dont la porositĂ© garantira finalement le salut des guerriers tout juste couronnĂ©s hĂ©ros. Et lorsque la ligne entre la vie et la mort ne tient qu’à une telle aberration diplomatique, jugĂ©e littĂ©ralement de haut par une sociĂ©tĂ© qui ne s’y soustrait que rarement dirigeable gĂ©ant aidant, le patriotisme, si Ă©vident soit-il, laisse pour beaucoup un goĂ»t de gĂąchis, surtout quand il est irrĂ©flĂ©chi. Il fallait bien des moyens aussi extraordinaires pour muer ce rĂ©cit historique prĂ©cis en fresque guerriĂšre s’inscrivant finalement dans la grande tradition du genre. Loin de se contenter de proposer quelques combats homĂ©riques, elle joue le jeu du commentaire esthĂ©tique sur la guerre. Elle coince ses personnages entre deux types de violences presque aux antipodes, pour encore plus nous immerger en son sein. Un seul regret subsiste donc celui de ne pas avoir pu la dĂ©couvrir en salles, comme des millions d’autres cinĂ©philes. La Brigade des 800 est disponible en VOD depuis le 16 juin. Il sera disponible en DVD et Blu-ray chez The Jokers dĂšs le 23 juin. RĂ©sumĂ© Capable de nuancer son patriotisme Ă©pique et camoufler ses quelques faiblesses grĂące Ă  une direction artistique sublime, une Ă©criture maitrisĂ©e et un contrĂŽle absolu sur son dĂ©cor hallucinant, ce blockbuster guerrier est un spectacle total. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous n'ĂȘtes pas d'accord avec nous ?Raison de plus pour vous abonner ! Je soutiens la libertĂ© critique articles liĂ©s
Labrigade des 800. InspirĂ© d’une incroyable histoire vraie. 1937 : ShanghaĂŻ est encerclĂ© par l’armĂ©e japonaise. Huit cents soldats chinois se sont retranchĂ©s dans un entrepĂŽt en plein coeur de la ville, et refusent d’abandonner la position. Commence alors le combat de leur vie, eux qui devinrent les hĂ©ros d’une nation CatĂ©gories. CinĂ©ma. Partager : Twitter; Facebook
Hollywood Made in China ï»ż Plus gros succĂšs Ă  sa sortie en Chine, La Brigade des 800 est devenu par la suite le champion de 2020 tous pays confondus, loin devant Tenet et autres Bad Boys. Ce succĂšs inattendu s’explique entre autres par l’immense progression du marchĂ© chinois en salles et la rĂ©action moins timorĂ©e des exploitants asiatiques durant la pĂ©riode Covid. Reprenant les codes de son modĂšle amĂ©ricain, l’Empire du Milieu semble bien dĂ©cidĂ© Ă  nous donner sa version locale d’El Alamo. En 1937, Shanghai est encerclĂ© par l’armĂ©e japonaise. 800 soldats chinois retranchĂ©s dans un entrepĂŽt vont mener le combat de leur vie pour bloquer l’avancĂ©e de l’envahisseur. Batailles Ă©piques, Ă©motions et patriotisme au menu, la recette est bien connue. Des nouvelles du front asiatique La Brigade des 800 est un film chinois qui utilise toutes les ficelles du cinĂ©ma Ă  grand spectacle amĂ©ricain. Le scĂ©nario ne recĂšle par consĂ©quent pas de grande surprise, mais s’avĂšre nĂ©anmoins bien rythmĂ© et propose une narration qui tient en haleine durant les 2h20 de mĂ©trage. En outre, cette “standardisation” du film lui permet de toucher un public au-delĂ  des frontiĂšres chinoises, la lutte de ces soldats pour leur pays et leur honneur devenant ainsi universel et comprĂ©hensible par tous. Cette volontĂ© de s’ouvrir Ă  l’histoire du monde se retrouve Ă©galement dans le parallĂšle entre le ShangaĂŻ en guerre et la partie de la ville sous protectorat britannique oĂč les gens continuent Ă  vivre presque comme si de rien n’était. Cette ambivalence entre les classes dirigeantes chinoises et anglaises observant Ă  la lorgnette ceux qui meurent pour les protĂ©ger, rĂ©sonne comme un sujet brĂ»lant et toujours d’actualitĂ© Un casting de 800 acteurs Si, bien entendu, une bonne partie de la fameuse Brigade des 8OO n’a que peu voire pas de prĂ©sence Ă  l’écran et est rĂ©duite Ă  de la simple chair Ă  canon, il n’en reste pas moins vrai que le mĂ©trage propose de nombreux personnages, que ce soit du cĂŽtĂ© des soldats chinois ou des civils retranchĂ©s sur l’autre rive du fleuve. Certains se dĂ©marquent bien Ă©videmment plus que d’autres, mais tous possĂšdent une identitĂ©, mĂȘme superficielle, renforçant ainsi le sentiment d’unitĂ© qui, si elle n’est pas toujours militaire, demeure pour le moins patriote. Finalement, seul le camp japonais est dĂ©laissĂ© et n’existe Ă  l’écran que par la prĂ©sence du colonel adverse – heureusement plutĂŽt honorable, ce qui Ă©vite le manichĂ©isme. Un univers d’ombres et de lumiĂšres Le rĂ©alisateur Hu Guan parvient Ă  proposer une mise en scĂšne plutĂŽt lisible et efficace Ă  sa Brigade des 800 mĂȘme si, lĂ  encore, nous restons davantage dans le classique plutĂŽt que l’épique. Bien qu’essayant de constamment titiller nos Ă©motions par des scĂšnes fortes, il faut avouer que tout cela est souvent bien trop convenu pour faire mouche. C’est davantage du cĂŽtĂ© de l’ambiance visuelle que Hu Guan tire son Ă©pingle du jeu. D’abord en proposant principalement des scĂšnes de nuit pendant les deux premiers tiers du mĂ©trage, afin de montrer la diffĂ©rence entre le trĂšs Ă©clairĂ© protectorat britannique qui ressemble Ă  un parc d’attraction, voire Ă  un lupanar gĂ©ant, et l’autre cĂŽtĂ© de la rive oĂč se trouve le champ de bataille, vĂ©ritable antichambre de l’enfer plongĂ©e dans les flammes et les tĂ©nĂšbres. Les soldats contemplent les lumiĂšres et rĂȘvent de les rejoindre car ce ne sont pas des machines sans peur, mais de simples mortels souvent faillibles. La tĂ©nacitĂ© et le courage dont ils feront preuve pour finalement affronter la mort agira comme un catalyseur sur leurs homologues civils. Cette prise de conscience conduira le rĂ©alisateur Ă  de plus en plus filmer de jour, afin de montrer que chacun est dĂ©sormais uni et se soutient jusqu’à l’issue finale. DĂ©jĂ  vu, mais Ă  voir En conclusion, nous dirions que La Brigade des 800 est un mĂ©trage beaucoup trop consensuel mais dont le rythme et la rĂ©alisation permettent de le regarder sans dĂ©plaisir. Cependant si vous connaissez la plupart des classiques de guerre amĂ©ricains, vous serez partagĂ© entre l’hommage et le plagiat. Ce qui n’est sans doute pas totalement innocent, dans un contexte oĂč la Chine, puissance montante, va plus ou moins volontairement tomber dans la propagande et l’impĂ©rialisme Ă  l’écran dont le cinĂ©ma amĂ©ricain nous a lui-mĂȘme jadis abreuvĂ©. Sans parti pris disons que c’est de bonne guerre et que cela n’a jamais empĂȘchĂ© le cinĂ©ma de produire de bons films. La Brigade des 800 s’en tire pour l’instant plutĂŽt bien.
LaBrigade des 800: VOD HD - Achat pas cher : retrouvez tous les produits disponibles Ă  l'achat dans notre catĂ©gorie VOD En utilisant Rakuten, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des contenus personnalisĂ©s et de rĂ©aliser des statistiques. Ce film n’est plus disponibleLe savoir-faire du rĂ©alisateur Hu Guan fait ici merveille dans les scĂšne d'action qui parviennent aussi Ă  rester intimes et intenses...1937 l'armĂ©e impĂ©raile japonaise a envahi la Chine. Les troupes nipponnes arrivent Ă  Shanghai pour une bataille qui s'annonce dĂ©cisive... LĂ , elle vont rencontrer la rĂ©sistance hĂ©roĂŻques de quelques centaines de soldats chinois retranchĂ©s dans un entrepĂŽt du port...Ce film n’est plus disponible1 min avant2 min aprĂšsLes avis sens critiqueLes + de filmo1 min avantAlors soyons clairs, le film La brigade des 800 » appartient Ă  ce qu’on peut considĂ©rer comme une production Ă  haute teneur patriotique avec de vrais morceaux de bravoure dedans ! Nous sommes en 1937 l’ArmĂ©e ImpĂ©riale japonaise ayant dĂ©cidĂ© d’envahir la Chine parvient Ă  Shanghai oĂč elle rencontre une poche de rĂ©sistance acharnĂ©e... LĂ , un groupe de 800 fiers combattants de l’ArmĂ©e Nationale RĂ©volutionnaire va tout faire pour ne pas cĂ©der un pouce de terrain, cloĂźtrĂ©e dans un entrepĂŽt stratĂ©gique... VoilĂ  plantĂ© le dĂ©cor, il vous reste maintenant Ă  savourez le grand spectacle orchestrĂ© Guan Hu, fer de lance dans les annĂ©es 2020 d’une nouvelle gĂ©nĂ©ration de rĂ©alisateurs chinois. Un garçon fĂ»tĂ© qui a su s’attirer les bonnes grĂąces du pouvoir en place Ă  PĂ©kin tout en obtenant de voir ses films diffusĂ©s Ă  l’étrangers et notamment sur les Ă©crans du grand satan amĂ©ricain... Pour la petite histoire qui, Ă  l’échelle de l’Empire du Milieu, devient colossale, La brigade des 800 » est le plus gros succĂšs de l’annĂ©e 2020 lĂ -bas, avec prĂšs de 430 millions de dollars de recettes... Dans le mĂȘme genre vous pouvez trouver 300 Quelques centaines de combattants, rĂ©sistant Ă  une invasion innombrable avec peu de chances de l'emporter... Chine contemporaine ou AntiquitĂ© grecque, le spectacle haletant est garanti ! ou encore LES SENTINELLES DU PACIFIQUE La seconde guerre sino-japonaise a largement inspirĂ© le cinĂ©ma chinois voici deux Ă©pisodes de ce conflit, l'un Ă  Shanghai, l'autre Ă  Chongquing.... SalleclimatisĂ©e. 55 couverts. Accessible aux personnes Ă  mobilitĂ© rĂ©duite. Accessible aux groupes. Bistrot, la Table du Moulin. Au Moulin de la Gorce. 87 800 La-Roche-l'Abeille. Tel. +33 5 55 00 70 66. Email : moulindelagorce@wanadoo.fr.
Ba Bai 2020 RĂ©alisĂ© par Guan Hu Avec Wang Qian-Yuan, Zhang Yi, Jiang Wu La guerre sur tous les fronts si nous, occidentaux, avons l’habitude de vivre au cinĂ©ma les Ă©motions liĂ©es aux affrontement de la Seconde Guerre mondiale lorsqu’ils sont concentrĂ©s en Europe ou dans le Pacifique, il faut bien reconnaĂźtre que l’Histoire houleuse de la Chine Ă  l’aube du conflit international reste encore peu connue sous nos latitudes. Pourtant, la situation du pays asiatique Ă  cette pĂ©riode se rĂ©vĂšle diablement intĂ©ressante d’un cĂŽtĂ© les affrontements entre les armĂ©es chinoise et japonaise se font intenses, d’un autre les puissances europĂ©ennes investissent le pays. Au cƓur de Shanghai se trouve des “concessions”, sortes d’enclaves abritant les occidentaux, comme une parenthĂšse au milieu des combats. Cet Ă©tat des lieux permet d’explorer avec aisance toute les subtilitĂ©s de la situation internationale qui dĂ©gĂ©nĂšre alors. “La brigade des 800” va s’appuyer justement sur cet Ă©tat des lieux pour dĂ©rouler un long mĂ©trage, certes versant dans le registre de l’action par moment, mais avec de la consistance dans le fond. VĂ©ritable carton phĂ©nomĂ©nale au box-office chinois, “La brigade des 800” s’inspire d’une histoire vraie, celle de 800 soldats chinois retranchĂ©s dans un dĂ©pĂŽt aux portes de ShangaĂŻ et qui vont braver les difficultĂ©s pour rĂ©sister Ă  l’envahisseur japonais malgrĂ© leur large infĂ©rioritĂ© numĂ©rique. Sur plusieurs jours, on va suivre leur quotidien fait de prĂ©caritĂ© et de mort prĂȘte Ă  frapper Ă  n’importe quel moment. Une histoire devenue emblĂ©matique de l’esprit de rĂ©sistance chinois jusqu’à devenir une vĂ©ritable fiertĂ© nationale. C’est donc au milieu de fusillades et d’explosions incessantes que le cinĂ©aste Guan Hu va pouvoir exposer un rĂ©cit sur la bravoure et l’abnĂ©gation de ces hĂ©ros nationaux. Le rĂ©alisateur fait de ses personnages de vĂ©ritables martyrs, morts sur l’autel de la rĂ©sistance. Un processus intĂ©ressant mais qui va rapidement montrer ses limites dans la construction des personnages “La brigade des 800” dĂ©limite par moment des protagonistes un peu clichĂ©s, allant du lĂąche absolu et exagĂ©rĂ© au hĂ©ros intrĂ©pide tout aussi peu cohĂ©rent. Guan Hu fait Ă©galement de nous des tĂ©moins privilĂ©giĂ©s des conditions affreuses dans lesquelles vivaient les soldats chinois. La fatigue, la saletĂ©, le stress
 Rien n’est Ă©pargnĂ© Ă  ces hĂ©ros de la libertĂ© contraints de dormir, lorsqu’ils le peuvent, sur les cadavres de leurs frĂšres tombĂ©s au combat. Le rĂ©alisateur a conscience que pour que son film marche, il doit remporter l’adhĂ©sion du public et cet axe invite fatalement Ă  la sympathie pour ces hommes brisĂ©s. Mais on ne qualifiera pas pour autant “La brigade des 800” de film rĂ©aliste Guan Hu va clairement imposer des scĂšnes musclĂ©es sur un rythme effrĂ©nĂ©. Le long mĂ©trage n’est pas une chronique exacte de la guerre, mais plutĂŽt un film d’action ponctuĂ© par des scĂ©nettes plus dramatiques. Ces affrontements armĂ©s, Guan Hu va les filmer avec un panache extrĂȘmement sĂ©duisant. PlutĂŽt que de s’appuyer uniquement sur un montage dynamique, le cinĂ©aste va rĂ©guliĂšrement proposer des plans-sĂ©quence, camĂ©ra Ă  l’épaule, qui immerge totalement le spectateur dans le chaos des affrontements. Un processus qui fonctionne Ă  merveille Hu Guan a un vrai talent de conteur, le problĂšme rĂ©side plutĂŽt dans le script. RentrĂ©e des classes » On sait que le gouvernement chinois porte toujours un Ɠil trĂšs attentif sur les productions cinĂ©matographiques de son pays, quitte Ă  faire pression pour glorifier son passĂ©. On sent que Guan Hu réécrit un peu l’Histoire loin de nous l’idĂ©e de dĂ©fendre les troupes fascistes japonaises, mais le manque de personnification de ces antagonistes laisse perplexe. Dans la mĂȘme veine, mĂȘme si certains personnages iront parfois Ă  contre-courant, les 800 sont gĂ©nĂ©ralement pĂ©tris de bravoure et de camaraderie, n’hĂ©sitant pas une seconde au moment du sacrifice. Puis il y a les difficultĂ©s politiques de l’époque qui pĂšsent sur les civils et qui semblent totalement ignorĂ©es, alors que les concessions, Ă©trangement et rapidement acquises Ă  la cause chinoise, observent les heurts. En vĂ©ritĂ©, il vaut mieux considĂ©rer “La brigade des 800” comme une demi-fiction, une Ɠuvre qui restitue la lĂ©gende, pas les faits avĂ©rĂ©s. On verse ici davantage dans la symbolique plutĂŽt que dans l’exactitude. Pour restituer parfaitement cet esprit d’unitĂ©, certes un peu fantasmĂ©, voulu par Guan Hu, le rĂ©alisateur va faire le choix de ne presque jamais nommer ses personnages, faisant d’eux des quasi-anonymes. “La brigade des 800” ne possĂšde d’ailleurs pas vraiment de rĂŽle principal C’est plutĂŽt malin, efficace, et ce n’est finalement qu’au moment de l’ultime sacrifice qu’un patronyme leur sera attribuĂ©. Symbiose entre les soldats donc mais le revers de la mĂ©daille c’est parfois l’impression de fouillis dans les trajectoires des diffĂ©rents personnages. Il est rĂ©guliĂšrement difficile d’identifier chaque protagoniste, perturbant ainsi le cheminement personnel. Le fond Ă©voquĂ©, il reste Ă  aborder la forme Guan Hu oppose le bĂ©ton de l’entrepĂŽt et les nĂ©ons criards des concessions occidentales, juste de l’autre cĂŽtĂ© d’une riviĂšre. Si le cinĂ©aste est un peu tapageur dans sa mise en image, il possĂšde pourtant un vĂ©ritable style graphique qu’on se surprend Ă  apprĂ©cier. Mais ce dĂ©cor, Guan Hu va surtout l’utiliser comme un Ă©lĂ©ment de narration d’une vĂ©ritable intelligence. Soldats et civils s’observent perpĂ©tuellement, et cette impression de libertĂ© Ă  portĂ©e de main et pourtant inatteignable se rĂ©vĂšle convaincante. Il convient de vivre “La brigade des 800” pour ce qu’il est pas un tĂ©moignage exact de la bataille mythique, mais plutĂŽt un film de grand spectacle parfois hĂ©sitant mais souvent sĂ©duisant.
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Cesamedi à la TV sur CINE + FRISSON BE, regardez La brigade des 800. Découvrez la bande annonce et plus d'informations. Film Guerre : En 1937, au le début de la deuxiÚme guerre sino-japonaise, assiégés pendant environ cinq jours, 800 soldats chinois livrent un combat héroïque dans un entrepÎt situé au milieu du champ de eAWI. 151 371 189 157 41 46 425 131 42

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